Manger n’importe quoi n’importe comment et n’importe où…
Oh non non, faites gaffe !
Il faut faire très attention à ce que l’on introduit dans son organisme, notamment s’agissant de viande et de poulet.
Pires que tout autre produit alimentaire, ces derniers risquent carrément de vous tuer, s’ils sont périmés ou pas bien nettoyés.
Si si, je préfère vous faire peur pour que vous preniez enfin vos précautions avant de consommer quoi que ce soit.
Pour ce, je vous apporte quelques tests qui vous aideront à mieux évaluer la fraîcheur de la volaille que vous comptez acheter ou que vous avez déjà dans votre frigo.
Sommaire
C’est naturellement le premier sens qui s’impose.
On doit bien observer le poulet avant de décider de sa fraîcheur et de sa qualité.
Pour ceux qui préfèrent toujours voir leur volaille toute rose, toute blonde, je leur dis: Il faut que vous ayez l’esprit un peu plus ouvert.
En fait, il n’y a pas de mal à ce qu’elle soit aussi blanche ou un peu jaune.
Cela ne prouve pas qu’elle n’est pas bonne, juste qu’elle se nourrissait trop de maïs.
Mais surtout pas foncée !
Si cela prouve quelque chose, cela prouvera qu’elle n’est plus bonne à manger.
Une transformation de ce genre peut être dangereuse.
Bien évidemment, et sans vous le rappeler, une odeur aigre et mauvaise à sentir, n’est pas du tout bon signe.
Il est vrai que le poulet ne sent pas la rose d’habitude, mais de là à dégager des effluves bizarres qui donnent envie de vomir.
Non, merci… Next !
Alors, fiez-vous à vos narines aussi…
Dans cette étape, il vaut mieux mettre des gants, notamment si l’on n’a pas encore désinfecté la volaille.
En passant doucement votre main dessus, remarquez si c’est collant, ou plutôt lisse.
Dans ce dernier cas, tout va bien, mais si ça glue, direction la poubelle !
On ne veut pas en arriver là, mais si vous ne remarquez rien, ou que vous le mangez en dehors de la maison, il faut faire confiance à vos pouvoirs gustatifs.
Vous connaissez bien sûr le bon goût d’un poulet rôti, frit, cuit dans une soupe ou dans une sauce, sauté…, etc.
Ce n’est pas votre première fois, alors dégustez bien, prenez votre temps, un petit morceau et s’il y a un truc qui cloche, vous savez comment faire.
Enfin, on ne peut pas vous quitter, sans vous offrir quelques petits conseils d’hygiène concernant le nettoyage et l’achat de votre poulet.
-Sachez que le lavage à l’eau ne fera que propager encore plus les bactéries de votre volaille, en même temps, elle perdra son bon goût.
-Si vous insistez, veillez à faire appel au sel, beaucoup de sel, au citron ou au vinaigre.
-Cachez dans des sacs ziplock spécifiques et bien fermés.
-Pour les personnes qui n’aiment pas la viande bien cuite, faites attention et révisez vos goûts, car une bonne cuisson préviendra la prolifération des germes.
-Choisissez toujours un bon producteur qui vend des produits frais et bios.
-Renseignez-vous auprès de lui pour savoir de quoi se nourrissaient les poules.
-Il faut que le magasin soit assez propre et hygiénique et le poulet bien emballé.
De cette manière, vous garantissez l’hygiène et la bonne santé à vous ainsi qu’à toute la famille ou à vos convives.
Ce n’est pas un jeu, la pourriture d’un poulet peut être beaucoup plus grave que ce que vous imaginez.
L’intoxication alimentaire qu’elle provoque peut avoir de lourdes conséquences.
On a déjà entendu parler de certains cas autour de soi, non ?
À vous de voir !
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