Si vous désirez maîtriser pleinement et sans erreurs l’art du transfert des plantes d’intérieur dans de nouveaux contenants, cet article est bien pour vous !
Vous allez découvrir les principales astuces à suivre pour éviter les erreurs courantes lors du rempotage des plantes d’intérieur.
Sommaire
– Lorsque vous transplantez une plante, la question de l’aération ne doit pas être sous-estimée.
– L’absence d’une circulation convenable d’air peut avoir un impact important sur la santé de la plante.
– Évitez également d’ajouter du gravier au fond du récipient, car cela peut créer un excès d’humidité dans le sol, entraînant ainsi un manque d’oxygène et favorisant la pourriture des racines.
– Pour assurer un drainage adéquat, il est crucial que le récipient dispose d’un nombre suffisant de trous d’évacuation. Dans le cas où vous utilisez un pot décoratif dépourvu de ces trous, envisagez d’en créer quelques-uns au fond pour garantir un bon écoulement de l’excès d’eau.
-Si elle se développe correctement et semble en bonne santé dans son contenant actuel, il n’y a donc aucune raison pour la déplacer.
-Déplacer une plante volumineuse est fortement déconseillé.
– En effet, elle peut devenir trop lourde à manipuler et risque d’être endommagée lors de l’extraction de l’ancien pot.
– Dans le cas de plantes volumineuses, vous êtes invité à simplement enlever la couche supérieure du substrat et à la remplacer par du compost frais, pour fournir à la plante les nutriments nécessaires.
– La sélection du contenant joue un rôle prépondérant dans la transplantation des plantes.
– Veillez à opter pour un récipient de taille plus grande que celui précédemment utilisé.
– Cette approche garantit un espace optimal pour le développement racinaire tout en évitant la rétention excessive d’eau dans le substrat après chaque arrosage.
– Plutôt que de briser la motte en morceaux, prenez soin de la détacher délicatement avec vos doigts.
– Si les racines sont excessivement enchevêtrées et profondément ancrées, laissez la motte tremper dans l’eau pendant quelques heures ou bien toute une nuit, ce qui rendra la tâche beaucoup plus simple.
– Dans le cas où les racines sont très serrées et ont formé des entrelacs, vous pouvez opter pour la coupe de l’excès par le biais de cisailles stérilisées.
– Dans les régions soumises à des hivers froids, il est recommandé d’éviter le rempotage des plantes pendant cette période.
– Le choc de transplantation pourrait compromettre leur survie, voire entraîner leur mort dans certains cas. Il est donc préférable d’attendre l’été ou le printemps pour effectuer cette opération en toute sécurité.
– Lorsque les plantes d’intérieur sont en pleine floraison, c’est le signe que les conditions sont optimales pour elles.
– Effectuer un rempotage lorsque les plantes d’intérieur sont en pleine floraison risque de perturber leur processus de floraison et peut entraîner une cessation prématurée de l’épanouissement des fleurs.
– Certaines plantes, telles que l’oiseau de paradis et le lis de paix, prospèrent très bien même lorsqu’elles sont un peu à l’étroit dans leur pot.
– Elles concentrent leur énergie sur la floraison plutôt que sur la croissance des racines, ce qui leur permet de développer de jolies fleurs sans qu’il y ait besoin de rempotage fréquent.
– Le choix du substrat doit être adapté à l’espèce végétale concernée. Par exemple, pour la culture de dracaenas, yuccas ou hévéas, privilégiez un substrat grossier contenant de larges particules telles que de la roche volcanique ou de la perlite d’environ 1/4 de pouce. Cette composition favorisera un drainage efficace et une croissance racinaire optimale.
– En revanche, pour des plantes telles que les bégonias, les violettes africaines et d’autres espèces de petite taille, optez pour un mélange de terreau composé de la vermiculite, de la tourbe de sphaigne et de la perlite.
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